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                    Nouvelles de la semaine - SUD
                          Éducation Lorraine 
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               Bonjour, 
                  Cette lettre hebdomadaire vous
                tient informé-e de l'actualité sociale et syndicale. Sa
                mise en page vous permet de repérer rapidement les
                informations qui vous intéressent. Les liens renvoient
                le plus souvent à des versions imprimables pour
                diffusion/affichage dans vos écoles et établissements*. 
              
              Bonne lecture. 
               
              * Le droit
                    syndical permet l'utilisation des moyens de
                  l'établissement à cette fin. 
              
                
                  
                    Infos
                          locales 
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                       La reprise des
                        cours à tout prix : inacceptable ! Irresponsable
                        !
                      
                         Tract intersyndical SUD éducation
                            Lorraine - CGT éduc’action 57 - Snudi FO 88 
                       
                      « À partir du 11 mai, nous
                        rouvrirons progressivement les crèches, les
                        écoles, les collèges et les lycées » a déclaré
                        le 13 avril le président de la République. 
                      Comment comprendre cette
                        annonce alors que tous les autres rassemblements
                        resteront interdits, si ce n'est pour satisfaire
                        le patronat et l'économie capitaliste au mépris
                        de la santé de toutes et tous? Comment faire
                        respecter la distanciation sociale à de jeunes
                        enfants, dans des classes souvent de plus de 30
                        élèves, à la récréation, dans les couloirs, à la
                        cantine, dans les transports scolaires, les
                        internats... ? Ainsi l'application du protocole
                        sanitaire donné par le gouvernement conduit à
                        mettre en place une discipline traumatisante
                        pour les élèves : voulons-nous d'une école
                        maltraitante? Les jeunes sont bien souvent des
                        porteurs asymptomatiques, en revenant dans les
                        établissements scolaires, ils pourront donc
                        contaminer les adultes de l’établissement mais
                        aussi les familles… 
                      > Lire
                          la suite du tract… 
                       
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                    À
                          la une 
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                      SUD éducation entame une
                        procédure en justice pour l’annulation de la
                        réouverture des écoles et établissements
                      Lundi 4 mai, une circulaire
                          était rendue publique sur le site du
                          ministère. Cette circulaire n’est toujours pas
                          publiée au bulletin officiel de l’Éducation
                          nationale. Le gouvernement et le ministère de
                          l’Éducation nationale agissent dans la
                          précipitation, sans tenir compte des
                          impératifs sanitaires. La circulaire enjoint
                          les personnels du premier degré
                          prioritairement de retourner dans les écoles. 
                       
                      Le protocole sanitaire rédigé par le bureau
                        Veritas, déjà très en deçà des prescriptions du
                        conseil scientifique, ne fait pas l’objet d’une
                        circulaire lui donnant un caractère impératif
                        dans l’organisation des services. La circulaire
                        le renvoie au rang de simple guide, et ne donne
                        aucune garantie aux personnels, en termes de
                        matériel, de formation, ni de soutien médical ou
                        psychologique. Le ministère se défausse de
                        toutes ses responsabilités sur l’échelon local.
                        Alors même que la circulaire n’est pas encore
                        publiée, elle donne seulement trois jours ouvrés
                        aux personnels du premier degré pour organiser
                        la réouverture des écoles, et une semaine aux
                        personnels des collèges. Cela conduit à
                        travailler sur la base d’annonces médiatiques
                        qui ne cessent de se contredire plutôt que sur
                        des textes réglementaires. 
                      Qui plus est, le ministre
                        Blanquer se permet d’ajouter les injonctions
                        pédagogiques réactionnaires dont il est
                        coutumier tant sur le contenu pédagogique que
                        sur les notes que les élèves auraient eu durant
                        le confinement qui pourraient être
                        métamorphosées en observation dans le livret
                        scolaire ou le dossier de contrôle continu pour
                        les élèves amenés à passer un examen. 
                       
                      La gabegie ministérielle entretient un climat
                        délétère et anxiogène pour les personnels comme
                        pour les élèves. Le ministre ne peut plus se
                        cacher : il organise la réouverture des écoles
                        et des établissements au mépris de la santé, des
                        conditions de travail et de la sécurité. 
                      En conséquence, la
                          fédération SUD éducation a décidé de demander
                          en justice, en urgence, l’annulation de la
                          circulaire, et de demander au Conseil d’État
                          de contraindre le gouvernement à prendre les
                          mesures de protection qui s’imposent avant
                          toute réouverture d’école. 
                         
                      Pour SUD éducation, les conditions
                          sanitaires ne seront pas réunies et ne
                          permettent pas une reprise en mai dans de
                          bonnes conditions pour les élèves et le
                          personnel. 
                      Pour SUD éducation, il
                          s’agit bien plutôt de préparer la rentrée de
                          septembre qui doit donner lieu non seulement à
                          la mise en œuvre de toutes les garanties
                          sanitaires que le gouvernement se montre
                          incapable de fournir actuellement, mais aussi
                          à un plan massif d’investissement dans
                          l’éducation dont l’embauche de personnels
                          supplémentaires, de manière à compenser les
                          inégalités qui se sont accrues pendant la
                          période de confinement. 
                        Face au risque que fait courir
                          l’administration aux personnels ainsi qu’aux
                          élèves et à leur famille, SUD éducation
                          soutiendra les personnels qui feront usage de
                          leur droit de retrait. 
                      > Retrouver
                          une version pdf du communiqué… 
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                       Et après, c’est
                        quoi… l’esclavage ?
                      Tout le monde réfléchit à
                        l’après COVID 19. Et si Solidaires avec d’autres
                        appelle à un monde socialement et écologiquement
                        émancipateur, nos ennemis ont en revanche bien
                        l’intention de profiter de la période pour
                        satisfaire leurs intérêts ; ils et elles feront
                        tout pour que le monde d’après, ce soit le monde
                        d’avant en pire. Ils et elles s’efforceront de
                        saisir l’opportunité du choc provoqué par
                        l’épidémie pour, comme en 2008, enterrer leurs
                        discours sur « la nécessité de l’Etat
                        providence, sur ces biens et services qui
                        doivent être placés hors des lois du marché »i
                        et persévérer dans la casse des services publics
                        et des acquis sociaux pourtant déjà sérieusement
                        malades. Tous ces amortisseurs sociaux sont bien
                        plus indispensables que leurs mortifères
                        dividendes et bulles spéculatives. 
                      Après le Medef et le
                        porte-parole des Républicains, c’est maintenant
                        l’institut Montaigne, think tank libéral bien
                        connu, qui pousse au nom de la « croissance
                        perdue » et de la “nécessaire reprise de
                        l’activité économique” à ce que dans le monde
                        d’après, ce soit au monde du travail de se
                        retrousser les manches, diminuer ses jours de
                        repos et de congés et donc être obligé de trimer
                        encore plus longtemps. 
                      Et ça tombe bien, le
                        gouvernement a justement fait passer le 25 mars
                        dernier une ordonnance restreignant les droits à
                        congés et au temps de repos et rallongeant le
                        temps de travail. Allongement de la semaine à
                        60h, temps de travail de jour comme de nuit
                        possible jusqu’à 12h, temps de repos quotidien
                        abaissé à 9h, possibilité encore accrue de
                        travailler le dimanche, en réalité tout est déjà
                        publié. Reste la date limite du 31 décembre
                        2020. Car cette ordonnance est justifiée par la
                        présente crise sanitaire et doit permettre de
                        lutter « contre ses conséquences économiques »
                        lesquelles peuvent durer d’autant plus avec la
                        crise économique qui suivra. En clair, il
                        suffira d’une ordonnance rectificative pour
                        supprimer la date et le tour sera joué. Le code
                        du travail fera toujours état des 35h, mais ce
                        sera un décor pour les naïfs-ves, pas pour les
                        salarié-es qui trimeront quasiment 2 fois plus,
                        60h ! 
                      Alors que la crise sanitaire a
                        démontré toute la nocivité des politiques
                        libérales, lesquelles en laminant les services
                        publics de santé et en privilégiant la finance
                        et l’économique sur l’humain, sont responsables
                        de la mort de centaines de milliers de personnes
                        dans le monde, leurs responsables entendent
                        rapidement détourner l’attention. De ce monde
                        d’inégalités, de guerres meurtrières, de
                        destructions environnementales, de pauvretés
                        massives qu’ils ont créé et qui ont permis le
                        COVID 19. Alors que leur totale inutilité
                        sociale a pu être constatée de toutes et tous. A
                        la différence évidente de ces « riens »,
                        soignant-es, personnels d’entretien et de
                        sécurité, camionneurs-euses, éboueurs-euses,
                        caissières de supermarché, travailleur-euses
                        sociaux, agent-es des services publics… qui
                        auront permis par leur courage et
                        professionnalisme de ne nous sortir de ce
                        mauvais pas. 
                      Nous ne
                            voulons plus du monde corrompu des
                            puissant-es. Fondé sur l’avidité,
                            l’exploitation et le court terme, le
                            capitalisme fait courir la planète et nos
                            sociétés à leur perte : il est indispensable
                            et il est surtout temps d‘en finir ! 
                      Il y a
                            urgence à mettre en place une société de la
                            solidarité et du partage pour ne laisser
                            personne au bord du chemin. Pour y arriver,
                            à l’opposé de ce que cherche le patronat, il
                            faut commencer par une réduction massive du
                            temps de travail. Toutes et tous ensemble,
                            nous allons gagner. 
                       
                      * Allocution d’Emmanuel
                          Macron à la nation le 12 mars 2020 
                       
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                    Actus
                          dans l’éducation 
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                      Se protéger à partir du 11 mai
                        : tous les outils légaux
                      
                         Le 11 mai sera le début du
                          déconfinement. Macron en a décidé ainsi, seul,
                          et contre les avis médicaux et scientifiques. 
                        La date est arbitraire, entièrement
                          déconnectée des conditions sanitaires et des
                          capacités matérielles. 
                        Pour lutter contre cette maladie très
                          contagieuse et mortelle, le bon sens aurait
                          voulu d’abord que l’on prépare nos capacités
                          de protection et d’accompagnement médical de
                          la population, ensuite que l’on propose une
                          date de déconfinement. 
                        Retrouver dans ce dossier de SUD éducation : 
                        - des modèles de courrier pour informer des
                          réalités du terrain 
                        - les éléments indispensables dans 3 cas de
                          figures : 
                        1) Personnel vulnérable ou fréquentant une
                          personne vulnérable à domicile 
                        2) Personnel « non vulnérable » 
                        3) Garde d’enfant 
                         
                       
                      Toutes ces informations sont mises à jour et
                        complétés quotidiennement. 
                         
                      > Le
                        dossier complet ici… 
                      ----- 
                      SUD éducation a également mis en
                        place une carte des écoles le 11 mai, commune
                        par commune (Ouvertes, fermées ou partiellement
                        ouvertes) 
                      Elle est à consulter et/ou
                        compléter avec vos infos locales ici :  
                       
                      
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                      Réouverture des écoles et
                        établissements : comment exercer son droit de
                        retrait ?
                      Version actualisée. 
                      1. Qu’est-ce que le droit de retrait ? 
                      2. Comment alerter ma hiérarchie ? 
                      3. Déposer un Danger Grave et Imminent (avec
                      modèles) 
                      4. Mon supérieur conteste mon droit de retrait :
                      que faire ? 
                      
                      > Lire
                          la fiche… 
                      > Voir
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                      Protocole sanitaire : des
                        exigences intenables à mille lieues des
                        préoccupations pédagogiques
                      Le ministère de l’Éducation
                        nationale vient de dévoiler le protocole
                        sanitaire pour la réouverture des écoles
                        primaires à partir du 11 mai. Ce document soumet
                        les personnels à une pression très importante.
                        Ils et elles n’ont que 10 jours pour préparer
                        une reprise permettant de garantir la protection
                        sanitaire des personnels, des élèves et de leur
                        entourage alors même que de nombreuses
                        incertitudes demeurent sur le rôle des enfants
                        dans la propagation de l’épidémie, les risques
                        qu’ils encourent et leur degré réel de
                        contagion. Surtout, le protocole ne répond pas à
                        de nombreuses incertitudes de ces dernières
                        semaines, notamment dans l’application concrète
                        des mesures préconisées. 
                      > Lire
                          la suite… 
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                       Télétravail et
                        enseignement à distance : NON aux pressions de
                        la hiérarchie !
                      Sans aucune préparation ou
                        réflexion, les personnels éducatifs ont souvent
                        dû, dès le 16 mars, se conformer aveuglément à
                        des consignes et des injonctions contradictoires
                        et anxiogènes pour justifier qu’ils n’étaient
                        pas payés à ne rien faire 
                      C’est nous qui travaillons,
                          c’est nous qui décidons 
                      → NON au flicage des personnels
                        ! Même à distance, la liberté pédagogique
                        s’applique ! 
                      → Nous ne sommes pas à la
                        disposition des chef-fe-s ! Pour le droit de se
                        déconnecter ! 
                      → Non au flicage des élèves et
                        des familles ! 
                       
                      > Lire
                          la fiche-analyse… 
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                       Préavis de
                        grève, crise sanitaire, du 11 mai au 19 juillet
                        2020
                      > Retrouver
                          le préavis de grève ici… 
                       
                       
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                       Réouverture des
                        écoles : dans le flou du 11 mai les inégalités
                        se renforcent
                      Tract commun SUD
                          Collectivités territoriales-SUD éducation  
                       
                      Le gouvernement a annoncé la
                        réouverture des écoles et établissements
                        scolaires à partir du 11 mai. Rien n’est prêt !
                        Cette date politique a été choisie pour répondre
                        à des exigences économiques. Pour SUD
                        Collectivités territoriales et SUD Education, la
                        réouverture le 11 mai c’est toujours non ! Dans
                        une attitude responsable, nous refusons de
                        mettre en danger la santé des enfants, des
                        personnels, et plus largement de l’ensemble de
                        la population. 
                       
                      > Lire
                          la suite… 
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                       Circulaire de
                        réouverture : SUD éducation dénonce une
                        circulaire autoritaire et dangereuse
                      Lundi 4 mai, le ministère de l’Éducation
                        nationale mettait en ligne en catimini une
                        circulaire qui prétend organiser le retour dans
                        les écoles et établissements des élèves et des
                        personnels d’éducation (enseignant-e-s, AESH,
                        AED, CPE). 
                      > Lire
                          le communiqué… 
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                       Déclaration des
                        organisations syndicales au CTM
                      Déclaration unitaire
                          CGT-FO-FSU-SGEN-SNALC-SUD-UNSA 
                       
                      Après le discours du Premier
                        ministre devant l’Assemblée nationale, nos
                        organisations syndicales ne peuvent que
                        constater, à ce jour, que la date d’ouverture de
                        l’École et l’organisation de la reprise sont
                        précipitées. 
                      La reprise scolaire envisagée
                        par le gouvernement repose sur le volontariat
                        des familles ce qui contrevient aux objectifs du
                        système scolaire. Beaucoup d’entre elles
                        d’ailleurs subiront des pressions économiques
                        qui les contraindront à envoyer leurs enfants à
                        l’École. 
                      > Lire
                          la suite… 
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                      Les dossiers de SUD Éducation 
                      
                      Retrouvez-y tout le matériel
                          et les publications par thématiques 
                       
                      -> Pour
                          SUD éducation, il ne doit y avoir aucune
                          réouverture avant septembre : droit de retrait
                          à compter du 11 mai ! 
                      Dossier avec communiqués, droit de retrait,
                        vidéos ... 
                       
                      -> Les
                          femmes face à la crise du Covid 19 
                      Jean-Michel Blanquer,
                          ministre de l’Éducation nationale, répète
                          depuis des mois les mêmes mensonges que les
                          autres membres du gouvernement : l’égalité
                          femmes-hommes serait « grande cause du
                          quinquennat » et les femmes seraient les
                          grandes gagnantes du projet de contre-réforme
                          des retraites pour l’instant suspendu. C’est
                          pourtant la précarisation des femmes et
                          l’exposition des travailleurs et des
                          travailleuses à de nombreux et divers risques
                          qu’organise le gouvernement. 
                       
                       
                      -> Dossier
                          Coronavirus 
                      La crise sanitaire ne doit
                          pas induire la suspension de l’état de droit.
                          Nous serons vigilant-e-s quant au respect des
                          libertés publiques et des droits fondamentaux.
                          Nous serons également vigilant-e-s quant aux
                          restrictions concernant les droits et
                          garanties des fonctionnaires.  
                         
                       
                       
                      -> Se
                          protéger à partir du 11 mai : tous les outils
                          légaux 
                      Tout le matériel de SUD éducation 
                         | 
                   
                
               
               
               
              
                
                  
                    Solidaires
                          dans les luttes 
                     | 
                   
                  
                    
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                        1er mai 2020 Solidaires
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                       Non la lutte des
                        classes et pour la défense de nos libertés ne
                        sont pas des « chamailleries » !
                      Nous avions été scié-es ce
                        matin [le 1er mai] en découvrant la vidéo
                        de Macron souhaitant une bonne fête aux
                        travailleurs et travailleuses. 
                        Nous avions même cru à un gag, quand il semblait
                        regretter les « 1er mai parfois « chamailleurs
                        ». 
                         
                        Parler de « chamaillerie » quand le 1er mai
                        1891, à Fourmies, la répression a fait 10 morts,
                        dont 2 enfants, et que cela reste une date
                        symbolique du mouvement ouvrier ? 
                        Parler de « chamaillerie » quand ces dernières
                        années, les manifestations du 1er mai ont été
                        noyées sous les gaz ? 
                        Parler de « chamaillerie » quand des
                        manifestant-es sont obligé-es de se réfugier
                        dans un hôpital pour échapper aux tirs de LBD et
                        aux grenades explosives comme en mai 2019 à
                        Paris ? 
                       
                      Non, la lutte des classes,
                          la lutte pour une autre répartition des
                          richesses, la lutte pour assurer la liberté
                          d’expression et de manifestation ne sont pas
                          des chamailleries, pas des jeux d’enfants, pas
                          une « guerre des boutons »… Cette lutte fait
                          des mort-es, des blessé-es, des mutilé-es ! 
                      > Lire
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                       Une carte des
                        colères au travail en temps de pandémie
                      Construire une vue d’ensemble
                        des colères et des résistances dans le monde du
                        travail depuis le début de la pandémie du
                        Covid19 : voilà l’objectif premier de cette
                        carte interactive en ligne. Pensée et alimentée,
                        au départ, par le travail de quelques un.es,
                        cette carte se veut désormais participative,
                        elle appartient donc à toutes celles et tous
                        ceux pour qui elle est utile. Elle a vocation à
                        être appropriée par le plus grand nombre et
                        c’est pour cela, qu’en l’état, elle ne saurait
                        prétendre à l’exhaustivité. 
                       
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                       Consultation des
                        CSE : un décret taillé sur mesure !
                      Après l’adoption hier [le 2
                          mai] en Conseil des Ministres d’une
                        ordonnance adaptant temporairement les délais
                        applicables pour l’information-consultation du
                        Comité Social et Économique afin de faire face à
                        l’épidémie de Covid-19, nous prenons
                        connaissance de la publication ce jour du décret
                        d’application qui fixe un délai de 8 à 12 jours,
                        en fonction de l’intervention ou non d’un
                        expert, pour mener à bien une telle procédure et
                        ce pour les délais qui commencent à courir entre
                        sa publication et le 23 août 2020. 
                       
                      Il est pour nous manifeste que
                        ce décret est taillé sur mesure pour sortir
                        Amazon du pétrin dans lequel la société s’est
                        mise par son obstination à passer outre les
                        alertes du personnel, des syndicats et de
                        l’inspection du travail 
                      > Lire
                          le communiqué intersyndical… 
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                       Déconfinement…
                        et si oui, dans quelles conditions ?
                      Quatre pages Solidaires 
                       
                      Un plan de déconfinement a été
                        présenté par E. Philippe devant l’Assemblée
                        nationale le 28 avril dernier et au Sénat le 4
                        mai. Un projet de loi prolongeant l’état
                        d’urgence jusqu’au 24 juillet est en cours
                        d’examen. Le déconfinement est prévu pour le 11
                        mai dans des conditions qui devraient encore
                        être précisées le 7 mai prochain, notamment sur
                        ce qu’il sera possible de faire entre les
                        départements rouges et les départements verts
                        (ces derniers ayant selon les chiffres du
                        gouvernement un taux de propagation du virus
                        plus faible et un réseau hospitalier non
                        saturé).  
                       
                      Pourtant, ce déconfinement, qui
                        suit une gestion de l’épidémie chaotique, ne
                        donne à cette heure aucune assurance pour la
                        population de ne pas replonger vers une deuxième
                        vague de l’épidémie encore plus meurtrière… Les
                        « leçons » d’une première vague ne semblent pas
                        avoir remis en cause les choix politiques
                        antérieurs, sans forcément que ce soit une
                        surprise. 
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                       Coronavirus :
                        faire taire les lanceurs d’alerte nuit gravement
                        à la santé publique 
                      
                        Tribune collective publiée le
                            7 mai dans Libération 
                       
                      S’il reste peu connu du grand
                        public, le nom du Dr Li Wenliang restera associé
                        à une alerte dont les conséquences sont
                        incalculables, à la fois du point de vue des
                        victimes humaines et leurs proches, et du point
                        de vue des modes de fonctionnement des sociétés
                        contemporaines. Médecin ophtalmologue à
                        l’hôpital de Wuhan en Chine, mort des suites du
                        coronavirus, ce dernier avait été arrêté avec
                        sept autres médecins pour « perturbation de
                        l’ordre public ». Leur forfait ? Avoir alerté de
                        manière précoce sur les premiers cas suspects de
                        coronavirus en Chine, pays gouverné de manière
                        autoritaire et qui n’est donc pas un champion
                        des libertés publiques. 
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                       Banques : et si
                        on causait intérêt général !
                      La crise du Covid-19 nous aura
                        appris une chose, le secteur bancaire est
                        porteur de missions essentielles pour la
                        collectivité, une notion que les dirigeants des
                        banques, depuis la Banque de France jusqu’aux
                        membres de la Fédération Française des Banques
                        ont une fâcheuse tendance à oublier. Les
                        activités d’intérêt général ont, par la force
                        des choses, primé sur les activités
                        commerciales. Il s’est agi de répondre au plus
                        grand nombre, des plus défavorisés aux plus
                        éloignés des agences bancaires et autres bureaux
                        de poste en passant par celles et ceux qui
                        souffrent de la fracture numérique.  
                       
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                       " Déconfinement
                        progressif", la priorité absolue doit être
                        donnée à la santé et aux moyens pour vivre des
                        travailleur.euses et de l’ensemble de la
                        population
                      Communiqué intersyndical 
                       
                      A la veille des annonces du
                        Premier Ministre concernant le « déconfinement
                        progressif », les organisations syndicales et de
                        jeunesse exigent que priorité absolue soit
                        donnée à la santé et aux moyens pour vivre des
                        travailleur-ses et de l’ensemble de la
                        population. La pandémie est loin d’être sous
                        contrôle et la communauté médicale et
                        scientifique craint une “deuxième vague”. Dans
                        les conditions actuelles de l’épidémie, faire
                        primer l’économie sur la santé est inacceptable. 
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                       Pour le
                        capitalovirus, l’ennemi s’appelle les élu-es du
                        personnel !
                      N’en ayant jamais assez, le
                        patronat est à l’offensive tout azimut.
                        Profitant de la période sanitaire, du
                        confinement de la population et d’un personnel
                        politique très à l’écoute, celui-ci avance ses
                        pions sans faiblir. Après avoir fait le buzz sur
                        la question du temps de travail, il vient ainsi,
                        grâce à Pénicaud, de passer un sérieux coup de
                        rabot sur les délais de consultation des comités
                        sociaux et économiques (CSE), instances
                        représentatives du personnel du secteur privé.
                        Tout cela, rappelons-le, après déjà avoir obtenu
                        avec les lois travail, la fin des CHSCT,
                        l’éloignement toujours plus important des élu-es
                        de leurs collectifs de travail et des délais de
                        consultation des instances et de production de
                        leurs avis préfixés et donc définis à l’avance. 
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                       Garde d’enfant
                        et pension alimentaire en contexte de COVID-19 :
                        Lutter contre les inégalités et la précarité
                      Quatre pages Solidaires 
                       
                      L’épidémie de Covid-19 comme sa
                        gestion étatique et patronale ont révélé et
                        renforcé de plein fouet les inégalités sociales,
                        comme Solidaires l’a dénoncé dans ses
                        communications tout au long de cette période. Et
                        ce sont les personnes et les familles des
                        classes populaires qui en pâtissent en premier
                        lieu en voyant leurs revenus, déjà faibles,
                        diminuer dans toutes les configurations
                        d’emploi. La question de la garde d’enfant en
                        est un des points saillants, qui éclaire encore
                        une fois les inégalités de genre et de classe. 
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                       Le 11 mai : une
                        chaîne humaine contre les violences policières
                       Initiative d‘une
                          30aine d’organisations suite à l’appel « La
                          colère des quartiers populaires est légitime » 
                       
                      
                        Suite à l’appel « La colère
                          des quartiers populaires est légitime » nous
                          appelons à une chaîne humaine contre les
                          violences policières dans les quartiers
                          populaires : 
                         - Le 11 mai à 18h30 
                          En respectant les gestes sanitaires, au départ
                          du pont de l’Ile Saint-Denis. RDV Station de
                          tramway : L’Ile-Saint-Denis 
                         
                        Dans la nuit du 19 au 20
                          avril, plusieurs quartiers populaires ont
                          connu des nuits de révolte. La veille au soir,
                          un homme a failli perdre sa jambe à
                          Villeneuve-la-Garenne après une violente
                          tentative d’interpellation policière et c’est
                          bien cela qui a mis le feu aux poudres. 
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                       COVID-19
                        conférence téléphonée du 6 mai 2020 avec le
                        secrétaire d’État
                      Compte-rendu Solidaires
                          Fonction publique 
                       
                      
                        Une déclaration intersyndicale a été lue en
                          liminaire de cette réunion hebdomadaire au nom
                          de l’intersyndicale CGT, FAFP, FO, FSU et
                          Solidaires. (reprise en fin de message) 
                        Au-delà de ce qui a été évoqué dans cette
                          déclaration, Solidaires est à nouveau
                          intervenu sur la question de la sécurité et
                          des protections pour les agent-es. Elles n’ont
                          pas été à la hauteur de ce qui était attendu
                          pendant les deux mois écoulés. Pour
                          Solidaires, il est hors de question que la
                          sécurité des agent-es soit encore un peu plus
                          mise à mal. Les matériels de protection
                          nécessaires doivent enfin être tous mis à
                          disposition des agent-es. Ça n’est encore pas
                          le cas dans de nombreux endroits notamment
                          dans la santé... 
                       
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                       Mort d’un
                        travailleur intérimaire d’Adecco à Roissy
                      Compte-rendu de Solidaires,
                          SUD Aérien et SUD Adecco 
                       
                      
                        Bruno Azaiz est mort des suites du Covid-19
                          mardi 7 avril. Il travaillait en mission comme
                          agent de piste au terminal 1 de l’aéroport de
                          Roissy pour la société ARS, filiale de WFS
                          (Worldwide flight services). 
                        Il était amené à décharger jusqu’au 15 mars
                          des cargos venant de Chine jusqu’à 5 par
                          jours, sans gants, sans masque, sans
                          protection. Il travaillait pour ARS depuis 8
                          ans et via Adecco depuis 2 ans. 
                        La société Adecco n’a pas prévenu les
                          organisations syndicales de cette situation.
                          En conséquence, il est difficile aujourd’hui
                          de savoir quelles mesures ont été prises pour
                          protéger les salarié-es que ce soit ceux de
                          l’entreprise d’intérim ou ceux de l’entreprise
                          utilisatrice. 
                        On ne peut pas prendre prétexte du besoin
                          qu’ont les personnes les plus précaires de
                          gagner leur vie pour les mettre en danger. On
                          ne doit pas perdre sa vie à la gagner ! 
                       
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                       Réseau  syndical international de solidarité et de luttes
                       
                      -> Israël
                          devant la Cour pénale internationale : Il est
                          plus que temps 
                      Le 20 décembre 2019, Fatou Bensouda, procureure
                        de la Cour pénale internationale (CPI) à La
                        Haye, a exprimé sa volonté d’ouvrir une enquête
                        sur les crimes de guerre commis en
                        Israël-Palestine en vertu du Statut de Rome,
                        précisant que l’enquête portait sur la
                        Cisjordanie, Jérusalem Est et Gaza. 
                       
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                      Vidéos Solidaires
                      
                       
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                        Expressions des
                            structures membres de Solidaires
                        
                       
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                    En interne 
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                      Comptes-rendus, notes internes,
                        consultations, réunions… de SUD Éducation ou de
                        l’Union syndicale Solidaires
                      /!\ à ne pas diffuser /!\ 
                      
                      
                     | 
                   
                
               
               
               
              
                
                  
                    Prochaines
                          dates 
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                       Rappel : 
                      Stages et formations syndicales : Tous
                        les salarié·e·s peuvent y participer sur leur
                        temps de travail et sans perte de salaire,
                        demande de congé à déposer à son supérieur
                        hiérarchique un mois à l'avance. Modèle
                          de demande ici... 
                      Réunions d'information syndicale (RIS) 1er
                          degré : Tous les personnels du 1er degré
                        ont le droit d'y participer. Elle vous dispense
                        d’animations pédagogiques organisées par votre
                        IEN de circonscription (dans la limite des 3 RIS
                        auquel chacun a droit par an). Détails
                          et modèle de demande ici... 
                      Réunions syndicales, commissions, groupes de
                          travail,... : Tous les
                        adhérent·e·s de SUD Education peuvent participer
                        à ces réunions, sur leur temps de travail, frais
                        de déplacement pris en charge par le syndicat.
                        Demande d'autorisation spéciale d'absence (ASA)
                        à déposer 8 jours à l'avance accompagnée d'une
                        convocation à nous demander. Détails
                          et modèles de demande ici.. 
                      Pour toute question, nous contacter. 
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                       SUD
                            Éducation Lorraine vit grâce aux cotisations
                            des adhérent·e·s et à l'énergie des
                            militant·e·s. 
                           
                      
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