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Nouvelles de la semaine - SUD
Éducation Lorraine
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Bonjour,
Cette lettre hebdomadaire vous
tient informé-e de l'actualité sociale et syndicale. Sa
mise en page vous permet de repérer rapidement les
informations qui vous intéressent. Les liens renvoient
le plus souvent à des versions imprimables pour
diffusion/affichage dans vos écoles et établissements*.
Bonne lecture.
* Le droit
syndical permet l'utilisation des moyens de
l'établissement à cette fin.
Infos
locales / À la une
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La répression s’accentue.
Le pouvoir local a décidé de
casser le mouvement social nancéien,
Notre solidarité sera sans
faille!
Après les gardes à vues pendant
la mobilisation contre le projet de réforme des
retraites, les poursuites judiciaires
engagées contre
un porte-parole
d’organisation syndicale
départementale, les
convocations et
poursuites à l’encontre de 13
camarades pour une action pacifique et les
verbalisations de toutes celles et ceux qui sont
venu·es les soutenir, aujourd’hui, l’un de nos
camarades se retrouve gardé à vue pour «violence
à l’encontre de personne dépositaire de
l’autorité publique».
Les faits reprochés se
rapportent à une action intersyndicale le 15
janvier dernier au Rectorat de l’Académie de
Nancy-Metz, où des enseignant·es et autres
militant·es se sont rassemblé·es pacifiquement
pour dénoncer la prime exceptionnelle touchée
par le recteur au moment où les personnels
s’opposaient à un projet de réforme des
retraites qui prévoyait d’amputer leurs pensions
de plusieurs centaines d’euros par mois. Cette
action s’était déroulée de manière festive, bon
enfant et pacifique jusqu’à ce que le Recteur
fasse intervenir rapidement, contre ses propres
personnels, les forces de l’ordre qui sont
passées par une porte arrière et ont dégagé les
manifestant·es sans ménagement alors qu’ils et
elles étaient déjà en train de quitter les lieux
dans le calme.
Les forces de l’ordre sont
intervenues brutalement, repoussant les
manifestant·es avec violence dans des
escaliers,bousculant l’un d’eux qui s’est
évanoui et a failli basculer par dessus la
rambarde des escaliers. Il a été rattrapé de
justesse et évacué par les manifestant·es avant
d’être transporté aux urgences alors que la
police continuait de charger sans ménagement.
Aujourd’hui, c’est chez un
autre manifestant que la police est intervenue
ce matin dès 6h pour le mettre en garde à vue.
Et c’est à lui, près de 6 mois après, qu’il est
reproché d’avoir été violent ce jour-là. Un
comble! Nous sommes nombreux·ses à pouvoir
attester qu’aucun·e manifestant·e n’a été
violent·e.
En réalité, depuis le début de
toutes ces poursuites qui se multiplient, les
autorités ont décidé de cibler des camarades,
d’en faire des exemples et de casser toute
implication dans le mouvement social.
Nous apprenons que d’autres
militants ont été mis en garde à vue aujourd’hui
pour leur implication dans les dernières
mobilisations.
Comme pour les autres
poursuites, notre solidarité sera sans faille.
Nous mettrons tout en œuvre pour défendre nos
camarades: moyens financiers, solidarité
militante, unité intersyndicale.
La répression policière ne fait
qu’accentuer notre détermination dans nos
luttes.
Libération de nos camarades!
Abandon des poursuites!
> Voir
en pdf…
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Bienvenue à
Commercy : nos amis les soldats Saoudiens
Enquête d'Amnesty
International
En France, on s’apprête à former des
militaires saoudiens au maniement de la
dernière version d’armes, déjà utilisées
dans le conflit au Yémen. Grâce à un centre
de formation flambant neuf, implanté en
Meuse avec de l’argent du contribuable
français, et en violation des traités
internationaux.
Commercy, commune de la Meuse de 6 000
habitants. Ses madeleines, son château
Stanislas, ses soldats saoudiens.
Bienvenue en région Grand Est, où tout a été
mis au point pour recevoir, dans les
conditions d’un quatre étoiles, des militaires
du royaume wahhabite. Celui-là même qui mène,
depuis 2015, une guerre au Yémen contre les
forces houthis soutenues par l’Iran. Plus de
cinq ans après le début de l’offensive, ce
conflit, qualifié par les Nations unies de
« la pire catastrophe humanitaire au monde »,
a fait plus de 230 000 morts.
> Lire
l'enquête…
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Déterminé.es à
agir
Déclaration du Comité
national de l’Union syndicale Solidaires des
1er et 2 juillet 2020
Le comité national de
Solidaires constate que le gouvernement cherche
à revenir au plus vite au « monde d’avant » pour
amplifier sa politique de casse sociale et de
mépris des travailleuses et des travailleurs,
notamment celles et ceux qui ont été exposé.es
au virus pendant la crise.
Qu’elles concernent le service
public, les associations, les entreprises,
toutes les réponses du gouvernement sont
insuffisantes et scandaleuses : elles montrent
qu’il ne veut pas remettre en cause ces
politiques qui ont pourtant conduit aux
insuffisances et au manque de services
sanitaires et hospitaliers du pays.
Au moment où les plans de
licenciements se multiplient, y compris dans des
entreprises qui versent des dividendes comme
SANOFI, que le chômage continue de faire des
ravages, que les attaques contre les services
publics et la fonction publique reprennent, il
est urgent de changer de politique. Cela passe
par l’abrogation de la réforme de l’assurance
chômage mise en place unilatéralement en 2019.
Cela passe par l’abandon définitif de la réforme
des retraites par points. Cela passe par le
partage du travail et sa réduction à 32h
hebdomadaires. L’urgence écologique oblige à
aller plus loin que les mesures de la convention
citoyenne pour le climat retenues par la seule
volonté de Macron. Celui-ci a d’ailleurs écarté
tout ce qui pourrait remettre en question le
modèle productif, modèle qui serait le seul à
répondre au financement des besoins sociaux. Son
allégeance à ce modèle montre que la
transformation sociale et écologique ne se fera
pas sans la construction d’un rapport de force.
Pour répondre à la crise
sociale et écologique, l’Union syndicale
Solidaires porte dans l’immédiat les 34 mesures
du plan unitaire de sortie de crise :
https://solidaires.org/Plus-Jamais-ca-34-mesures-pour-un-plan-de-sortie-de-crise
La répression anti-syndicale ne
réussira pas à nous museler, pas plus que
l’autorisation que le pouvoir veut nous imposer
pour manifester. Nous ne gagnerons que par nos
mobilisations et la création d’un rapport de
force conséquent. Nous allons chercher à le
construire avec le plus grand nombre de
travailleuses, de travailleurs et de
partenaires. L’Union syndicale Solidaires sera
aussi dans les semaines à venir de toutes les
luttes pour l’égalité et contre les
discriminations envers les femmes, les personnes
racisé.es, les sans-papiers, les LGBT+ …
conditions indispensables au monde juste que
nous voulons.
Le silence des institutions
autour des violences policières, structurelles,
commence à se fendre. Il faut continuer ces
mobilisations et faire voler en éclat ce système
violent et répressif utilisé pour faire taire
toute contestation contre le système
capitaliste.
Nous serons toujours en
opposition de l’extrême-droite qui va essayer de
profiter de la crise sociale pour se renforcer
et propager sa haine.
L’Union syndicale Solidaires
tiendra un congrès extraordinaire en octobre
pour analyser collectivement la situation et
déterminer la meilleure façon d’agir dans la
nouvelle période ouverte par la crise sanitaire
pour qu’elle ne débouche pas sur une crise
sociale sans précédent. Nous voulons construire
un autre avenir que celui que nous réservent les
capitalistes.
Dans l’immédiat, nous serons
mobilisé.es le 11 juillet contre les expulsions
et pour le droit au logement, le 18 juillet au
côté du comité Justice pour Adama. Le 13
septembre, nous participerons à la mobilisation
qui se construit à Bruxelles dans le cadre de la
journée de la Santé. Solidaires s’investit, avec
la marche des Solidarités, dans la préparation
d’une marche nationale pour la régularisation
des sans-papiers à Paris au début de l’automne.
Le 14
juillet prochain, jour symbolique, doit
marquer l’exigence de tout changer en
mettant à l’honneur “les premières et
premiers de corvée” Solidaires appelle à se
rassembler et agir partout sur le territoire
contre les politiques ultralibérales du
gouvernement. A Paris une manifestation ira
prendre la Bastille.
Pour les RDV en Lorraine,
voir sur
notre site dans les jours à venir !
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Actus
dans l’éducation
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Recrudescence de
cas de Covid-19 dans les écoles : SUD éducation
exige des garanties pour la santé des personnels
Le ministre Blanquer veut faire
croire que les élèves comme les personnels
peuvent retourner sur leurs lieux de travail
sans précautions. Il pérore d’un plateau de
média à l’autre, et répète à qui veut l’entendre
que les risques sont désormais négligeables.
Pourtant, les fermetures d’écoles se sont
multipliées ces derniers jours, à Paris, Lyon,
Toulouse, en Seine-Maritime… sans que
l’administration communique jamais de manière
transparente. Dans certaines circonscriptions,
la hiérarchie va jusqu’à refuser de fermer les
écoles.
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Direction
d’école : encore un recul du gouvernement de
loi direction d’école
L’Assemblée nationale a
adopté en première lecture la proposition de loi
créant la fonction de directrice ou de directeur
d’école. SUD éducation, avec d’autres
organisations syndicales, avait dénoncé avec
force cette proposition de loi qui concrétisait
les obsessions du ministre de l’Éducation
nationale, ce dernier avait d’ailleurs déjà dû
reculer face à la forte mobilisation des
personnels lors de l’examen de la loi Blanquer.
>
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Soutien aux
personnels de l’Enseignement agricole public
Le Snetap-FSU et la CGT Agri et
SUD Rural Territoires déposent un préavis de
grève national pour le mardi 30 juin 2020. Il
s’agit de permettre ainsi aux personnels des
établissements de l’enseignement agricole public
d’exprimer leur refus de mesures que le
ministère entend mettre en œuvre à compter de la
rentrée de septembre.
> Lire
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Déclaration de
SUD éducation au CSE du 30 juin 2020
Alors que depuis le 22 juin la consigne
ministérielle est d’accueillir le maximum d’élèves
dans les écoles et les collèges, force est de
constater que le dispositif est dysfonctionnel.
M. le ministre Blanquer veut faire croire que les
élèves comme les personnels peuvent retourner sur
les lieux de travail sans précautions. Il pérore
d’un plateau de média à l’autre, et répète à qui
veut l’entendre que les risques sont désormais
négligeables.
> Lire
la suite…
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Réduction du
nombre de jours pour garde d’enfants malades :
une attaque inacceptable contre nos droits
Dans le cadre de la loi de
transformation de la fonction publique, le
gouvernement a préparé un projet de décret sur
les autorisations spéciales d’absence pour
motifs familiaux. L’article 11 de ce texte
prévoit de réduire le nombre de jours d’absence
autorisés pour la garde d’enfants malades ce qui
est extrêmement problématique. Pour l’instant
les agent-e-s bénéficient de 6 jours par an,
voire 12 dans le cas du transfert des droits de
l’autre parent si il ou elle ne peut en
bénéficier, ou en cas de monoparentalité. Le
projet de décret prévoit de réduire ce nombre à
3 jours (5 pour les enfants de moins d’un an ou
en cas de famille de plus de 3 enfants). Les
quelques progrès dans l’attribution des
autorisations d’absence sont utilisées par le
ministère pour justifier cette nouvelle attaque
contre nos droits, ce qui est inacceptable.
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Le MEN annonce
de nouvelles mesures pour les directeurs et
directrices d’école
Après l’adoption de la loi par
l’Assemblée nationale, le MEN a annoncé le 2
juillet 2020 de nouvelles dispositions pour les
collègues directeurs et directrices d’école,
pour la plupart applicables dès la rentrée 2020.
Les mesures annoncées font état d’une indemnité
exceptionnelle dont le montant demeure inconnu,
d’une organisation indépendante des 108 heures
de service annuelles, la simplification
d’applications informatiques, "des espaces de
discussion" virtuels avec les représentant-e-s
des DASEN, un référent "direction d’école"
choisi par l’IEN par département et une aide
administrative recrutée par le ministère qui
pourra être exercée par des services civiques,
des AED ou des étudiant-e-s apprenti-es
préparant un diplôme de niveau bac+2 (BTS,
DUT…).
>
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Le Conseil
d’État conforte la politique xénophobe du
gouvernement et ouvre la voie à la hausse des
frais d’inscription
communiqué Solidaires
étudiant-e-s / SUD éducation
Dans une décision du 1er
juillet, le Conseil d’État valide les frais
d’inscription prohibitifs pour les étudiant-e-s
extracommunautaires mis en place en 2019. Par
cette décision, le Conseil d’État couvre et se
fait complice de cette mesure raciste qui entame
le principe de gratuité de l’enseignement
supérieur.
>
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Annonces du
gouvernement : 8000 AESH de plus dans
l’Éducation nationale, c’est 8000 emplois
précaires de plus.
Le ministre de l’Éducation
nationale et la secrétaire d’ État chargée des
personnes en situation de handicap ont annoncé
le 30 juin 2020 des « moyens supplémentaires »
pour l’inclusion des élèves en situation de
handicap à l’école. 8000 emplois à mi-temps vont
être créés ainsi que 350 nouvelles ULIS (Unités
Locales d’Inclusion Scolaire). Malheureusement,
les personnels de l’ Éducation nationale savent
que cette annonce reste superficielle et ne
suffit pas à améliorer véritablement l’accueil
des élèves en situation de handicap à l’école.
>
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Évaluations
nationales imposées à la rentrée : le ministère
fait reposer le poids de la crise sanitaire sur
les personnels et les élèves
Blanquer a indiqué dans un
courrier envoyé aux personnels son intention de
maintenir les évaluations nationales à la
rentrée 2020.
Faire passer des évaluations dès la rentrée est
irresponsable. Il est inacceptable d’évaluer des
élèves sur des notions non-abordées.
Les élèves et les personnels viennent de vivre
une fin d’année catastrophique en raison de la
crise sanitaire. L’enseignement à distance, la
fracture numérique, la mauvaise gestion de la
crise par l’administration jusqu’à son plus haut
niveau pendant le confinement et lors de la
reprise ont exacerbés les inégalités scolaires.
Les élèves n’ont pas eu les conditions
nécessaires pour poursuivre les apprentissages,
malgré ce que ne cesse de répéter le ministère.
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E3C : à Bordeaux
comme ailleurs, stop à la répression
anti-syndicale !
Les situations se suivent et se
ressemblent : dans différents endroits du
territoires, des personnels se sont mobilisés au
cours de l’hiver contre la mise en œuvre des E3C
et plus généralement des réformes des trois
voies des lycées. Cette séquence a donné lieu à
une série d’entreprises de répression
anti-syndicales : Clermont-Ferrand, Carcassone,
Melle, Cahors, Strasbourg. Dans plusieurs de ces
situations, des militant-e-s SUD éducation sont
attaqué-e-s, et actuellement encore dans le
cadre de procédures disciplinaires (Melle,
Strasbourg).
>
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Validation du
plan “Bienvenue en France” : le Conseil d’Etat
enterre l’égalité entre étudiant-e-s
Communiqué unitaire
Ce mercredi 1er juillet, le
Conseil d’Etat a rendu sa décision en
réécrivant totalement la décision du Conseil
constitutionnel concernant le recours
intenté par : UNEF, ASEPEF (Association des
Étudiants Péruviens en France), FESSEF
(Fédération des Étudiants Stagiaires et
Sénégalais de France), AJGF (Association des
Jeunes Guinéens de France), ADEEF
(Association Des Etudiants Egyptiens en
France), SNESUP-FSU, FERC CGT, FERC Sup,
Solidaires Étudiant•e•s et FO ESR contre le
plan “Bienvenue en France” et la
multiplication par 15 des frais
d’inscription pour les étudiant•e•s
non-européen-ne-s.
>
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Les dossiers de SUD Éducation
Retrouvez-y tout le matériel
et les publications par thématiques
-> Halte à la répression anti-syndicale
dans l’éducation nationale !
Communiqué CGT-FO-SNES-SUD
-> LPPR : la remobilisation, c’est
maintenant !
A la suite de la
convocation en rafale des différentes
instances de « dialogue social », les
organisations syndicales ont découvert avec
stupéfaction que le gouvernement comptait
accélérer le calendrier de la loi de
programmation pluriannuelle de la recherche
(LPPR). SUD éducation dénonce la tentative de
passage en force du Ministère de
l’enseignement supérieur de la recherche et de
l’innovation (MESRI) et appelle l’ensemble des
personnels à se mobiliser dès maintenant pour
faire échec à ce projet de loi inégalitaire et
darwinienne.
-> Crise sanitaire et préparation de la
rentrée
Dossier contenant toute information utile
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Solidaires
dans les luttes
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Affaire du
Siècle : 16 mois plus tard, l’Etat nie tout en
bloc, tandis que deux autres ONG ajoutent des
arguments au dossier
Près de seize mois après le
début de l’instruction, l’État répond enfin aux
arguments déposés contre lui par Notre Affaire à
Tous, la Fondation Nicolas Hulot, Greenpeace
France et Oxfam France, dans le cadre de
l’Affaire du Siècle. Dans son mémoire en
défense, composé de 18 pages, l’État rejette les
arguments présentés par les organisations
co-requérantes et nie en bloc les carences
pointées par l’Affaire du Siècle, alors qu’elles
avaient été confirmées par le Haut conseil pour
le climat. Cette réponse intervient alors que
deux autres organisations – la Fondation Abbé
Pierre et la Fédération Nationale d’Agriculture
Biologique – versent au tribunal leurs arguments
en appui à l’Affaire du Siècle.
> Lire
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Logement -
Journée nationale unitaire de mobilisation à
l’occasion de la fin de la trêve des expulsions
Journée unitaire nationale
décentralisée de mobilisations dans
différentes villes pour le samedi 11 juillet
(premier jour de la fin de la trêve des
expulsions, des remises à la rue des sans
abris, et des coupures d’énergie.) alors que
les dégâts humains produits par des politiques
du logement désastreuses ont été exacerbés par
la crise sanitaire.
> Lire
ici…
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Soutien
de Solidaires aux travailleuses et
travailleurs de NextRadioTV
Sous couvert de
baisse des recettes publicitaires liée à la
crise sanitaire, la direction du groupe
Altice a annoncé le 19 mai dernier une vaste
restructuration du groupe NextRadioTV
(regroupant les différentes chaines TV et
radio de BFM et RMC). Cyniquement baptisé «
reconquête post-Covid », ce plan de
licenciements prévoit de diviser par deux le
recours aux intermittent-es, pigistes et
consultant-es ainsi qu’une mutualisation des
fonctions-support.
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Confier le
médicament aux laboratoir€s pharmac€utiqu€s nuit
gravement a la sante
Alors que la planète vit une
pandémie sans précédent, quand la santé de tous
les êtres humains, quand la recherche de
traitement contre le Covid devraient être la
préoccupation première de toute entreprise de
santé, le laboratoire Sanofi annonce un énième
plan de restructurations.
>
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Première réunion
des syndicats HOP ! et AIR FRANCE
Ce jour, s’est tenue la première réunion de la
quasi totalité des organisations syndicales
intercatégorielles (Personnel Sol, Personnel
Navigant Commercial et Pilote) des compagnies HOP
! et AIR FRANCE.
>
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« Face à
l’urgence écologique et sociale, nous ne pouvons
plus nous contenter des vœux pieux des grandes
entreprises »
Un collectif rassemblant des
associations écologistes et des syndicats
demande dans une tribune au « Monde » à ce que
le soutien de l’Etat à une grande entreprise
soit assorti de conditions environnementales et
sociales, inscrites dans la loi.
>
Lire la tribune…
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Vérité et
justice
Le monde entier défile, avec
ou sans autorisation, pour condamner
l’assassinat de George Floyd, honorer sa
mémoire, et déclarer qu’enfin les personnes
noires, victimes à différents degrés de racisme
systémique et institutionnel, doivent pouvoir «
respirer », c’est-à-dire vivre comme tout être
humain, libre et égal aux autres, en a le droit
imprescriptible. Ce que demandent
particulièrement ces manifestants, c’est que ne
soient plus ni tolérées, ni protégées, ni a
fortiori encouragées par les pouvoirs publics et
leurs représentants du haut en bas de la «
chaîne de commandement » les violences, les
humiliations quotidiennes fondées sur
l’apparence, les origines ou le domicile, ainsi
que les brutalités pouvant aller jusqu’à la
mort.
>
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Manifeste pour
une République française antiraciste et
décolonialisée
Solidaires soutient le
Manifeste pour une République antiraciste et
décolonisée, à l’initiative d’Histoire coloniale
et postcoloniale ( https://histoirecoloniale.net/
) avec des signatures de membres de notre Union
syndicale.
Les extraordinaires
manifestations qui se sont multipliées aux
États-Unis puis dans le monde entier en réaction
à l’assassinat par un policier de George Floyd
le 25 mai 2020 à Minneapolis marquent un
tournant historique majeur. [...]
Et en Europe, ces mobilisations
ont aussi permis de mieux comprendre en quoi les
violences policières actuelles, ciblant
particulièrement les citoyen.ne.s issu.e.s des
anciennes colonies, mais aussi des populations
des territoires, départements et collectivités
dites d’outre-mer, étaient tout autant nourries
des traditions racistes d’une longue histoire
coloniale [...].
>
Lire la suite…
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La coop des masques
Les dernières informations à propos ce
projet lancé dans les Côtes d’Armor :
> Lire
ici…
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Réseau syndical international de solidarité et de luttes
-> Non à l’annexion ! Non à
l’effacement du peuple palestinien !
Avec le soutien actif des
États-Unis de Donald Trump, le gouvernement
israélien dirigé par Netanyahou et Gantz
annonce vouloir engager dès le 1er juillet
l’annexion pure et simple d’une grande partie
des territoires palestiniens occupés de
Cisjordanie, en violation flagrante du droit
international.
-> Non
à l’annexion des territoires palestiniens de
Cisjordanie
Dans la foulée du « plan
de paix » énoncé unilatéralement par Trump, le
gouvernement israélien a décidé l’annexion
d’une grande partie de la Cisjordanie et ce,
dès le 1er juillet 2020.
Alors que le premier
ministre israélien s’apprête à faire voter par
la Knesset la loi d’annexion d’une partie de
la Cisjordanie, Salah Hamouri vient d’être,
une nouvelle fois, arrêté dans un véritable
guet-apens, au moment où il se rendait à
Jérusalem pour effectuer un test de
coronavirus avant de rejoindre la France.
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Expressions des
structures membres de Solidaires
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Prochaines
dates
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Rappel :
Stages et formations syndicales : Tous
les salarié·e·s peuvent y participer sur leur
temps de travail et sans perte de salaire,
demande de congé à déposer à son supérieur
hiérarchique un mois à l'avance. Modèle
de demande ici...
Réunions d'information syndicale (RIS) 1er
degré : Tous les personnels du 1er degré
ont le droit d'y participer. Elle vous dispense
d’animations pédagogiques organisées par votre
IEN de circonscription (dans la limite des 3 RIS
auquel chacun a droit par an). Détails
et modèle de demande ici...
Réunions syndicales, commissions, groupes de
travail,... : Tous les
adhérent·e·s de SUD Education peuvent participer
à ces réunions, sur leur temps de travail, frais
de déplacement pris en charge par le syndicat.
Demande d'autorisation spéciale d'absence (ASA)
à déposer 8 jours à l'avance accompagnée d'une
convocation à nous demander. Détails
et modèles de demande ici..
Pour toute question, nous contacter.
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SUD
éducation Lorraine vit grâce aux cotisations
des adhérent·e·s et à l'énergie des
militant·e·s.
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